samedi, avril 27, 2024
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L’Inter en tête de la Ligue des champions : le Napoli en tête !

La relève de la garde sur la Botte prend de plus en plus forme. En effet, à l’issue de cette 14e journée de Serie A, le solide leader de l’Inter Milan a frappé fort chez le champion en titre napolitain en marquant de superbes buts sur le score finalement sans appel de 3-0. L’avantage est ainsi passé à onze points – et la malédiction du stade a été vaincue.

Si vous avez suivi le derby d’Italie en direct lors de la 13e journée de Serie A, vous avez dû écarquiller les yeux lors de la 14e journée qui s’est terminée dimanche. En effet, contrairement à la confrontation entre la Juventus et l’Inter (1-1), cette fois-ci entre le champion en titre, le Napoli, et le leader du championnat, le Milan, la rencontre a été très animée.

Au cours des 45 premières minutes, les deux parties ont dominé dès le début, ont fait circuler le ballon et ont montré leur classe en un contre un ou lors des passes finales. Elmas a testé la capacité de réaction de Sommer (3e minute), avant qu’Elmas ne défie l’ancien joueur de Gladbach et de Munich (19e) et que Rrahmani ne soit bloqué de justesse (23e).

Politano n’a pas de chance, Calhanoglu a de la force

Mais dans le camp campanien, c’est Politano qui a dû s’énerver le plus, puisqu’il a envoyé le ballon sur la barre transversale, en haut à gauche, lors d’une superbe conclusion à la 36e minute.

Les Napolitains pouvaient vraiment s’énerver – et encore une fois à la 44e minute. Car c’est là que l’Inter, qui n’était jusque-là parvenue à s’approcher de la cage napolitaine que grâce à un but hors-jeu de Thuram (12e) et à deux sorties dangereuses de Lautaro Martinez (27e, 39e), a soudain frappé fort en inscrivant le 1-0. Sur un service intelligent et surtout à moitié aveugle de Dimarco dans le dos de la défense du SSC, Calhanoglu, qui s’est précipité, a envoyé le ballon sans coup férir dans la lucarne gauche (44e).

Le Napoli ne fait que souffrir à la fin

Ce but a eu du poids – et n’a pas permis aux locaux de se relever correctement ce soir-là. Au contraire, les Milanais ont pris les rênes et le contrôle après le changement de côté grâce à un travail défensif intelligent et des piqûres d’aiguille constantes – à la manière d’un véritable leader.

Et surtout, ils ont marqué le but du 2:0 (61e). Lautaro Martinez a été dégagé sur la gauche lors de l’attaque, a rompu intelligemment et a fait une excellente passe centrale à Barella. Le milieu de terrain, très technique, a traité le ballon à toute vitesse, éliminant Östigard et Natan par des crochets et marquant sans humour en bas à gauche.
Ce magnifique solo de quelques mètres a sonné le glas sportif du Napoli ce soir, même si Kvaratskhelia (58e), Osimhen (69e) et encore Osimhen (81e) ont créé le danger. Mais c’était comme si c’était écrit. Soit l’excellent Sommer se trouvait sur le chemin, soit les joueurs n’étaient pas assez précis pour obtenir un résultat.

A la fin, les spectateurs de plus en plus silencieux du Diego Armando Maradona (anciennement San Paolo), où le FC Internazionale n’avait gagné qu’un seul de ses 17 matches depuis le 19 octobre 1997 (2:0) (le 6 janvier 2020, 3:1, sous la houlette de l’ancien entraîneur Antonio Conte), ont encore souffert. Barella servait le joker Cuadrado sur l’aile droite, celui-ci passait à l’intérieur – et Thuram poussait froidement pour le 3:0 final (85e).

Alors que les Nerazzurri défendent ainsi leur position de leader devant leur poursuivant constant, la Juventus, le champion en titre napolitain glisse à la 5e place derrière la Roma en pleine ascension (2-1 après 0-1 à Sassuolo) et doit désormais digérer un retard de 11 points sur l’Inter.

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