Bayern ? Barça ? Milan ? Chelsea ? Le feuilleton du transfert de Nico Williams atteint son paroxysme. À l’Athletic Bilbao, les nerfs sont à vif, les fans râlent. Beaucoup d’argent devrait aider à le garder. Et bien sûr, son frère Inaki, le grand modèle du champion d’Europe.
Le premier obstacle est franchi. À la fin de la période de transfert du Club World Cup, le 10 juin, aucun club de l’élite n’avait encore engagé l’ailier gauche de Bilbao, Nico Williams, ce qui a été accueilli avec un soulagement visible au Pays basque. Mais pas avec une ambiance de fête durable. Car ce n’est un secret pour personne que des clubs prestigieux tels que le Bayern Munich, le FC Barcelone, Arsenal, Chelsea et, selon les rumeurs, le Real Madrid s’intéressent à Williams. Et la période de transfert estivale n’est pas encore arrivée. En tout cas, l’Athletic semble quelque peu dépassé par la situation, les nerfs sont à vif.
