À partir du 1er janvier 2026, les gardiens de but auront davantage d’options sur le marché international des transferts. La K League sud-coréenne a levé son interdiction sur ce poste.
Après que plusieurs clubs sud-coréens se soient plaints d’un manque de qualité à leur poste de gardien de but, la K League a réagi. Cette semaine, elle a levé l’interdiction en vigueur depuis plus de 26 ans qui interdisait le recrutement de gardiens étrangers.
À partir de la nouvelle saison 2026, qui se déroule comme d’habitude en Corée du Sud sur l’année civile, le club participant à la Coupe du monde des clubs, Ulsan HD, ou le leader actuel du classement, Jeonbuk Hyundai, pourront donc également chercher à l’étranger pour pourvoir ce poste important.
En 1999, la ligue avait introduit cette règle afin de protéger l’expérience des gardiens de but nationaux. À l’époque, il n’y avait cependant que dix clubs professionnels. Aujourd’hui, on en compte 26 au total, avec douze clubs en première division et 14 en deuxième division.
« L’augmentation du nombre de clubs signifie qu’il y a suffisamment de possibilités pour les gardiens de but nationaux de jouer, même si les gardiens étrangers sont autorisés », a expliqué la K League.
Parmi les joueurs de champ les plus en vue, on trouve Jesse Lingard (anciennement à Manchester United, aujourd’hui au FC Séoul) et l’ancien joueur de Schalke et Rostock Dong-Gyeong Lee, qui évolue au sein du club militaire Gimcheon Sangmu. La ligue s’intéresse surtout au marché international des transferts, où elle recherche des attaquants brésiliens abordables.

